mercredi 14 mai 2014

Comme des trains dans la nuit


"Les films sont plus harmonieux que la vie, Alphonse, il n'y a pas d'embouteillages dans les films, il n'y a pas de temps mort, les films avancent comme des trains tu comprends, comme des trains dans la nuit."

6 commentaires:

  1. … et les jambes des filles sont comme des compas qui arpentent le monde (oui, je sais, c'est pas dans le même film…)

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    1. B. Morane, oui... (et pas contre tout chacal)
      Juste pour préciser, la véritable phrase est : "Les jambes de femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie."

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  2. Ah, merci d'avoir rectifié, je citais de mémoire et c'est beaucoup plus logique et équilibré comme ça, en effet !

    (Mais je ne comprends rien à cette histoire de "B. Morane, oui... (et pas contre tout chacal)")

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  3. C'était une blague très bête. L'homme qui aimait les femmes s'appelle Bertrand Morane. Or il y a un héros de BD des années 50 ou 60 qui s'appelle Bob Morane, qui a inspiré une chanson d'Indochine (eh oui, on a été jeunes dans les années 80) dont le refrain (très scie) est "Bob Morane contre tout chacal, l'aventurier contre tout guerrier". Voilà !

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    1. Voyons, Florence, Jérôme va se retourner dans sa bouteille de Drappier !
      Avant d'être adapté en BD, Bob Morane est surtout une série de plus de 200 romans ados écrits par Henri Vernes entre les années 50 et 70 pour le compte de l'éditeur belge Marabout.
      Mais au temps pour moi : je ne me souvenais pas du tout que le personnage joué par Charles Denner s'appelait Bertrand Morane, pas plus que des paroles du tube d'Inchochine.

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    2. Espérons qu'aux ignorantes, il sera beaucoup pardonné !
      Mais tu parles de Drappier, et il est une heure presque raisonnable pour trinquer.... alors à François, Jean-Pierre, Charles et beaucoup d'autres...

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